L'INDICIBLE

"La rhétorique devrait être enseignée au Lycée dès la classe de première. C'est un projet politique : une société dans laquelle les individus sont plus éclairés et exigeants est une société où ils seront plus en mesure d'exercer leur citoyenneté. Une démocratie, c'est un régime où le pouvoir rhétorique est partagé". Clément VIKTOROVITCH (Docteur ès Sciences Politiques - Professeur de Rhétorique)

vendredi 18 avril 2008

8) Jeannette et Aimé Césaire

Ils sont partis tous les deux, le 17 avril, dans des heures proches (8 heures 44 pour Jeannette, 11 heures pour Aimé) . Ils se seraient sûrement beaucoup aimés.. Ils ne se sont jamais rencontrés mais pourtant... Les valeurs universelles et la notion de "négritude" resteront aussi nos vouloirs et bien sûr celles notre Jeannette... sachons pour cela garder les calme et compréhension que nous ont appris nos aînés... ceux qui ont été capables de nous aider à suivre un chemin. Césaire, Luther-King, Gandhi et notre Jeannette en sont les seuils, ultimes et enfonçeurs des habitudes qui nous fabriquent.... qui nous ouvriront toujours... la tolérance et l'envie ... l'envie que tous aillent mieux... !!!

Pour les valeurs, pour Aimé Césaire et pour Jeanette
à bientôt, GUY.

7) Jeannette... et toi ?

A Louis, Martine, Quentin, Camille, Nicolas, tous nos amours...
et A toi, Georges, notre ferveur pour aller bien devant !

Jeannette était l'âme de nos rencontres annuelles. Ellle a ravivé des consciences. Elle nous a dit nos descendances, nos valeurs, nos espoirs et bien plus...
Elle écrit

Petite fleur
Espérance
Où donc es-tu cachée
Atends-tu le printemps
Pour enfin te montrer
Espérance
Petite fleur
Déjà longtemp
Que tu t'es envolée
As-tu fini de jouer ?

Salut Madame !
Toute mon âme à toi Jeannette ! GUY

Le report de nos âmes : GUY

6) Ce serait bien ! et pourquoi pas ?

  • Jeannette s'en est allée, jeudi passé, 8H 44. Elle a quitté cette vie qu'elle a sans cesse aimée ! Je m'oblige à dire, à tous les cousins, qu'elle représentait pour moi toutes les sommes d'amour et de compréhension possibles, surtout dans ces temps pénibles.
  • Je lui dois beaucoup. Je voulais, chers cousins, vous le faire sentir. Je voulais surtout vous dire les capacités de Jeannette, sa force et son inextinguible désir d'en savoir plus. Bref, je l'aimais et sa confiance m'était une des plus fortes valeurs tout au long de ma vie. Elle m'a toujours répondu, sur des tons parfois distanciés, avec toujours une dose d'amour et de reconnaissance... Je saurai m'en souvenir.
Pour elle et pour nous je soumets ces quelques mots :

A Jeannette

Doucement, très doucement, j'ai appris
Sur les choses de la vie
Compris les folies qui nous mènent
Doucement j'ai su la bride de nos rênes

Les temps sont flétris et mornes, mais toi
Tu énerves bien les valeurs vivantes
Celles des pleurs incongrus sans aloi
Et je parle, ainsi existant...

Jeannette, tu restes, tu nous vis
Jeannette pour toi je souris

A bientôt-, GUY.

Pour Georges, Louis et toute la famille