* Pourrir notre existence n'est qu'une facette de la mission complexe du moustique sur Terre. En nous piquant pour nourrir, avec notre sang, sa future progéniture, la femelle moustique figure parmi les créatures les plus détestées de la surface du globe. Mais ils seraient acteurs à part entière des écosystèmes !!!
*Que l'homme piqué se rassure, le moustique constitue aussi une proie de choix.
"Les
larves servent de nourriture à de nombreux insectes, tandis que des
espèces, comme les oiseaux par exemple, se nourrissent à leur tour des
moustiques. Ils sont même les grands perdants de la chaîne
alimentaire : sous l'eau, les larves se nourrissent de microscopiques
organismes, avant de servir d’en-cas à leur tour, aux poissons et autres
libellules. Et à l’état adulte, le moustique nourrit de sympathiques
bestioles telles que les araignées et les chauves-souris.
* Le nombre d'oiseaux
migratoires serait divisé par deux si les moustiques disparaissaient,
estiment certains entomologistes. D'autres expliquent que les moustiques ne se
trouvent pas en quantité significative dans l'estomac de ces oiseaux.
Ils trouveraient donc facilement de quoi compenser la disparition de cet
en-cas.
* Si les femelles ont besoin de sang pour leurs futurs petits, les mâles participent davantage à la
pollinisation.
"Ils butinent les fleurs car ils ont besoin d'énergie, et ils la puisent dans le sucre". Décidément, le moustique
serait-il l'espèce la plus fainéante de son écosystème, contribuant sans
conviction à l'harmonie de la nature ? Les amateurs de chocolat ne sont
pas de cet avis : le moustique participe en effet activement à la
pollinisation du cacaoyer. Ce n'est pas rien, non ?
Alors, Jacky, je crois savoir que tu aimes le chocolat ! Un peu de compassion !
Bonne journée à toutes et tous ! GUY
... Le texte sur les moustiques a été piqué sur internet ! Juste un peu contourné pour déplaire à Jacky, qui devra dorénavant prendre garde à ne pas éradiquer ces bêtes sympathiques dans son jardin, en leur offrant des habitats confortables, style vieux pneus ou couvercles de bocaux posés à plat pour retenir l'eau et permettre la reproduction.
