Un petit poème ne ferait pas de mal
Juste pour réajuster de juste
Le pied de l'arbuste
Car en fait il est en vous
Dans vos larmes, vos courroux
Alors, que vive la rencontre
Dans un dur consentement
Ni regard sur l'envie, la montre
Bien, c'est tout, pourtant je le sens
Le pied de l'arbuste
Car en fait il est en vous
Dans vos larmes, vos courroux
Alors, que vive la rencontre
Dans un dur consentement
Ni regard sur l'envie, la montre
Bien, c'est tout, pourtant je le sens
Il est ferme, aussi repentant !
A bientôt, GUY