L'INDICIBLE

"La rhétorique devrait être enseignée au Lycée dès la classe de première. C'est un projet politique : une société dans laquelle les individus sont plus éclairés et exigeants est une société où ils seront plus en mesure d'exercer leur citoyenneté. Une démocratie, c'est un régime où le pouvoir rhétorique est partagé". Clément VIKTOROVITCH (Docteur ès Sciences Politiques - Professeur de Rhétorique)
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mardi 19 octobre 2021

4) Lucienne a eu 92 ans le 02 octobre 2021

La doyenne du Tréhou, Lucienne Roignant, a 92 ans

. Le Télégramme : 16 octobre 2021

Lucienne Roignant, au centre, entourée de sa sœur et son beau-frère, Renée et Auguste Hartel, et des représentants de la mairie, Bernard Joncour et Murielle Roignant. Lucienne Roignant, au centre, entourée de sa sœur et son beau-frère, Renée et Auguste Hartel, et des représentants de la mairie, Bernard Joncour et Murielle Roignant.

La commune du Tréhou a rendu une visite à sa doyenne, Lucienne Roignant, ce vendredi 15 octobre, en début d’après-midi.

Elle a soufflé ses 92 bougies le 2 octobre dernier. Née en 1929, à Brest, et issue d’une famille de commerçants, la jeune nonagénaire a suivi la lignée de ses grands-parents et parents, en tenant un bar-tabac-presse au Tréhou, durant 43 ans.

L’enseigne « Chez Lulu » était l’un des endroits incontournables de l’époque. « J’ai commencé à travailler à l’âge de 19 ans, et jusqu’à mes 62 ans. J’aurais bien aimé prolonger encore quelques années », a confié celle qui est aujourd’hui résidente à l’Ehpad Val-Elorn, à Sizun.

La mémoire toujours très vive et affichant une joie de vivre, Lucienne Roignant reçoit régulièrement la visite de ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants.

Le Télégramme de Brest du 16 octobre 2021

dimanche 6 mai 2018

2) Quelques souvenirs de nos rencontres !

Ces photos m'ont gentiment été envoyées aujourd'hui par Sylvie. Merci à elle ! 
D'autres suivront plus tard.


"Coco le Corsaire"

La Chorale AMJ


Histoires drôles

"Le Glaude" passe à table

Travaux d'approche

L'Avaleur de couteaux !

Le Chœur d'AMJ

Tra la la la la lé no

Casino du Tréhou

L'enfant, la femme et le chien !

Interview d'un dieu de la pétanque

Les artistes fatigués

Les finalistes du Championnat du Monde








Haute réflexion !




 

dimanche 25 janvier 2015

14) Fin d'une histoire de radio !



     * Après Jean-Louis Foulquier, disparu le 10 décembre 2013, Jacques Chancel le 23 décembre 2014, France-Inter perd encore une de ses voix !


Le "Pop-Club"; 1965-2005, a perdu son père !
José ARTHUR (20 mai 1927 - 24 janvier 2015)

"Ce n'est pas parce qu'on a un trou de balle qu'on a droit à une décoration !"


"Il n'y a rien de plus triste qu'un temps de saison en hiver !"


Claude VILLERS (22 juillet 1944)

















Que doit pleurer l'homme de "Pas de Panique", de "Marche ou Rêve", du "Tribunal des Flagrants Délires", qui couvrit pour France-Inter le Festival mythique de Woodstock en août 1969, et qui débuta dès 1970 dans le "Pop-Club" du maître José ???

"Il ne faut pas avoir peur de la mort sinon, 
à ce compte-là, on ne fait rien de ses jours !"





  
     * J'avoue que ma ""tendre" et "chaotique" jeunesse est en train de prendre un coup de vieux ! Le souvenir de ces soirées passées avec France-Inter, Hara-Kiri ou Charlie-Hebdo, dans des chambres d'étudiant ou de bonne, sans le culot intrusif et castrateur de la télé, est en train de s'éteindre avec les hommes qui l'ont produit.

Cabu, Wolinski, Foulquier et maintenant Arthur (José évidemment, pas l'horrible de TF1) ! 
Où êtes-vous, que faites-vous sans nous ?
Dis-le nous, toi le retraité regretté, Claude Villers ?

A bientôt ! GUY

jeudi 20 février 2014

10) Petit reportage "souvenirs" !


* Lors des 13èmes Rencontres Cousiniques, le dimanche 5 août 2012, Karine a effectué un petit reportage, dans le cadre de son association "La Maloïne", à la recherche de souvenirs de nos ancêtres, depuis le cimetière jusqu'aux témoignages de quelques Cousins, en passant par le Bourg du Tréhou.

* Je viens juste de retrouver cette vidéo sur Dailymotion et je vous la propose ci-dessous.


A bientôt ! GUY

jeudi 11 septembre 2008

27) Et si Jacqueline était avec nous ? Il y a 8 ans qu'elle est partie !


Pour toi, ma soeur, celle que j'ai aimée au plus fort des mes envies !

JE, ILS, NOUS, TOUS… ON T’AIME

La fin est dite, l’histoire existe
Le souvenir sera moins triste
Lorsque les larmes auront séché
C'est ta gaîté qui fera sonner
L’éternelle présence, ton humilité

De tes souffrances tu surnageais
Jusqu’au grand vide tu as plongé
Comme cet insecte
Qui donne naissance
Meurt lentement,
Nourrissant son engeance
De son propre corps
Vidé de la substance

Quel fut ton mal dont peu on savait
Quel fut ton rire qui nous sublimait
Entre les deux...
Espoirs anéantis
Souffrances solitaires en catimini
On aurait voulu… mais vite démunis

On a compris, sans doute raté
Par les non-dits, les non-présences
On comprenait… craintes édulcorées
C’était profond, bourré de sens
Pervers pour notre insuffisance

Jacqueline, tu es toujours là.

A bientôt, ton frère. Je t'aime.
Ton sommeil, on le préservera

Chaque jour on te parlera
Tu restes belle dans ton aura

Ton frère, Guy

Je suis ton frère… bien au-delà...

A Jacqueline, née le 11 septembre 1957. Elle a quitté notre monde le 12 octobre 200

A bientôt, ton frère, GUY

mercredi 26 septembre 2007

30) Histoire de Tonton Louis et "Izetta"

Quel choc quand j'ai redécouvert, dans une pub-télé, la fameuse voiture "Izetta", des années 58/60, de chez Fiat je crois ! Cet engin, qui a sévi peu de temps, était une vraie automobile, en forme d'oeuf sur trois roues, dont l'unique roue arrière était directrice ! Elle disposait d'une banquette pour le chauffeur et les passagers et, chose extraordinaire, elle s'ouvrait par l'avant, comme un oeuf à la coque...
  • Il se trouve que Tonton Louis avait investi dans l'achat d'une "Izetta", une première dans toute l'Armorique ! Il réceptionna le véhicule par un beau matin d'été, sous le regard éberlué de la population. Dans sa légendaire générosité, Tonton Louis invita tout de go ses neveux et nièces, en vacances au Tréhou, à étrenner la coquille à roulettes. Nous montâmes donc sur la banquette de l'engin, Jacky, Michèle, Mireille, Daniel et moi. Tonton Louis s'installa au volant et rabattit solennellement tout l'avant du véhicule, qui faisait office de portière. Nous étions prisonniers de l'oeuf, le blanc et le jaune ! Nous prîmes prestement la direction de Saint-Eloy.
  • A l'approche de "Lambarquet", Tonton Louis stoppa sa machine (car on pouvait freiner !) et nous tint ce discours : "Vous allez voir avec quelle facilité ce véhicule opère un demi-tour !" L'engin entame donc paisiblement son demi-cercle et, au contact de la berme, l'oeuf motorisé se met à rouler lentement sur le côté, pour verser gentiment dans le fossé !!!
  • A nous six et, vu le poids plume de l'engin, nous pûmes le redresser et le déposer délicatement sur la chaussée. Tout le monde riait, mais Tonton Louis nous fit promettre de ne parler de cet incident à personne, et surtout pas à Mémé !
  • C'est ce que nous fîmes donc, aussitôt débarqués de l'instable coquille. Nous avons été rendre visite à Mémé... C'était en 1958 !